Premières lignes #53

Coucou!

Après plusieurs semaines sans, me revoici avec le rendez-vous « Premières lignes », un rendez-vous hebdomadaire organisé par Ma Lecturothèque. 

Le principe est simple : je choisis un livre dont je vous partage les premières lignes !

Aujourd’hui, j’ai choisi: « Chroniques homérides, tome 1 » d’Alison Germain. C’est ma lecture en cours! Le début est très prometteur! 🙂

tete-de-lit-arabesque.jpg.pngVoici le résumé:

« Entre tes mains, fille d’Homère, brûle encore le pouvoir des Dieux.
Le jour où une inconnue rend son dernier souffle dans mes bras, je sais que ma vie paisible d’étudiante ne sera plus jamais la même. Au lendemain du drame dont j’ai été le seul témoin, aucune trace du crime n’a été retrouvée, tant et si bien que tout le monde me pense folle, moi la première. Seul un homme me croit, Angus Fitzgerald, détective à la recherche d’une personne qui ressemble trait pour trait à la femme morte sous mes yeux.
Alors que ce mystère reste sans réponse, les objets que je touche se transforment en or. Et quand le bel Angus me narre le mythe antique de Midas, ce roi grec qui changeait tout en or, je comprends qu’il en sait bien plus sur ce qui m’arrive. Et aussi sur les dangers qui me menacent. Pour moi, le plus imminent est juste là, dans mes mains. Parce que si pour le détective, je suis bénie des Dieux, je ne vois en ce pouvoir qu’une malédiction… »

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Prologue

Tandis qu’il étreignait son amante blessée, Rikke sentit le désespoir grignoter son âme. La perdre, comment l’imaginer? Un monde sans elle serait dénué de reliefs, de nuances et de beauté. Une existence fade, sans raison d’être. La vie s’effaçait peu à peu des prunelles de sa bein-aimée. les deux opales cristallines que Rikke ne se lassait jamais de contempler étaient ternes, presque figées. pourtant, il discernait encore une volonté en elles. Une lueur d’espoir…

– Tiens bon, Lia…

Elle tremblait contre lui, sans qu’il ne puisse la soulager. Sa peau d’une froideur mortuaire et son teint lugubre laissaient présager l’issue fatale. Avec toute la puissance de son être, il souhaita furieusement échanger sa place avec elle, pour la libérer et endurer lui-même la souffrance qui la torturait.

tete-de-lit-arabesque.jpg.pngAlors, ces premières lignes donnent-elles envie de commencer ce livre ? En plus, comme souvent aux Éditions du Chat Noir, la couverture est très jolie je trouve!

13 commentaires sur “Premières lignes #53

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      1. Oui je l’avais chroniqué je l’ai lu à sa sortie aux Halliénales, Alison est une amie depuis des années donc je tenais à lui écrire une chronique pour sa sortie, j’ai été la 2e à en publier une 😛

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