#Vendredi Lecture/5

Coucou!

 

Ce rendez-vous en rassemble deux en un : celui des « premières lignes » (un rendez-vous hebdomadaire organisé par Ma Lecturothèque) et celui du « vendredi lecture« .

Pour ce rendez-vous, il suffit de prendre sa lecture en cours et de la partager en ajoutant la quatrième de couverture, les informations de l’éditeur et un lien vers sa page sur Babelio. J’ajouterai également les premières lignes du livre en question !

J’ai repris l’idée à Ombrebones, qui elle-même a repris le concept du site VendrediLecture et du #VendrediLecture sur Twitter.

Aujourd’hui, je lis « Celle qui venait des plaines » de Charlotte Bousquet aux éditions Gulfstream que j’ai commencé avant-hier mais dont je n’ai lu que quelques pages jusqu’à présent! C’est ma dernière lecture pour le PLIB2018 et celle que j’appréhende le plus!

Voici le lien babelio pour plus de critiques.

Résumé

« Le vert des hautes herbes surplombées par le feu orangé du soleil couchant sur les plaines du Dakota, les récits de victoires autour d’une ambée à la tombée de la nuit, les chevaux couleur de cendres, le tonnerre des canons, les rivières de sang… Et soudain, le déracinement et l’enfermement à la Mission Saint-James, l’apprentissage de la haine d’une culture immémoriale, la purification par la souffrance et une éducation de fer pour briser les volontés les plus tenaces.
Voici l’histoire de Winona, fille aînée du vent et de la lumière, héritière de traditions ancestrales qu’elle fut contrainte de recracher comme le pire des venins, métisse éprise de liberté et de justice dont la route ne cesse de croiser celle des célèbres Steele Men, cow-boys et mercenaires – pour le meilleur et pour le pire.
Après Là où tombent les anges et Sang-de-lune, l’auteur nous entraîne dans une chevauchée sauvage d’une beauté brute, implacable, à travers l’Ouest américain mythique. Un nouvel hommage à la liberté, au droit d’être soi, d’exister, quel que soit le prix à payer. »

Les Incroyables Aventures des Steele Men, racontées par Billie Vince, d’après les souvenirs de Franck Allen.

Au rythme des tambours de guerre, les Peaux-Rouges disparurent en tourbillonnant sur eux-mêmes comme de grands oiseaux. Le sable blanc de la piste recouvrait les couleurs criardes dont ils peignaient leurs corps à demi nus. Sous les yeux des spectateurs, ils se transformaient en fantômes d’un peuple sauvage vaincu par la civilisation. A peine avaient-ils disparu que des cowboys jaillirent sur la piste en faisant tournoyer leur lasso pour attraper le bétail mugissant lâché au milieu d’eux. En l’espace de quelques minutes, les New-Yorkais, émerveillés, furent plongés dans le vie tumultueuse des héros du Far-West. Très vite, d’autres les rejoignirent, chevauchant des mustangs sauvages: chapeau à la main, les cavaliers rivalisaient d’audace pour dompter les bêtes écumantes et furieuses. A chaque nouvel exploit, ils s’arrachaient au public des exclamations de surprise et d’admiration.

Et vous, que lisez-vous en ce vendredi?

Avez-vous déjà lu « celle qui venait des plaines » ou un autre livre de cette auteure ? Si oui, qu’en aviez-vous pensé?